Cet ancien monastère roman du XIe siècle, encore complet avec son cloitre, mélange les styles avec des reconstructions plus récentes en gothique tardif aux reflets baroques.
Dés l’entrée, au niveau d’un sas qui fait office de Narthex, on se sent en immersion dans une énergie singulière : en l’occurence une CCT confinée dans ce petit espace réduit, qui fait office de « pierre de décharge ».
En progressant dans la Nef, on croise des réseaux Hartmann qui ont été repliés sur les piliers, comme souvent dans ces églises romanes, avec aucun réseau entre.
En arrivant sur le Choeur, un Réseau Sacré croise sur les autels des deux chapelles absidiales et entre les deux autels (l’ancien et le nouveau) du Choeur, et là en superposition avec un Vortex particulièrement large, au moins 3 mètres (certainement activé par l’orgue en action ce jour là lors de la visite), et renforcé par un Courant Tellurique Vert dans le sens du Transept et en partie sur le Vortex.
De l’énergie Christique est ressentie au centre, mariale sur la chapelle à Droite. Des présences sont détectées nombreuses au niveau du cloitre mais aucune dans l’église.
Lors de la visite, il faut lever les yeux pour observer de magnifiques chapiteaux chargés en symbolique, pas toujours très claires, hormis un dragon symbolisant l’énergie du bas, terrestre, et le lion sympobilsant l’énergie du haut, divine.
